Battle of the Year France 2016
Les meilleurs crews, bboys et bgirls de France métropolitaine et des DOM-TOM s’affronteront pour gagner leur place au Battle Of The Year International.
Samedi 21 mai 2016 – A partir de 17 h 30
Les meilleurs crews, bboys et bgirls de France métropolitaine et des DOM-TOM s’affronteront pour gagner leur place au Battle Of The Year International.
Avec une affluence en constante augmentation, le Battle Cercle Underground est devenu au fil des années une référence dans la danse hip hop multi-disciplines.
Le 16 avril 2016, le Cercle Underground organise sa 11ème édition parrainée par Paul Pogba. Ce battle de hip hop incontournable, réunissant la crème de la crème des danseurs internationaux, se tiendra cette année encore à l’Académie Fratellini, à Saint Denis.
16 équipes de danseurs venant de 9 pays (Etats-Unis, Japon, Russie, Espagne, France, …) sélectionnées pour leur niveau, leur actualité et leur détermination s’affronteront dans les disciplines House, Hip Hop, Pop et Break dans une ambiance survoltée. Avec une affluence en constante augmentation, le Battle Cercle Underground est devenu au fil des années une référence dans la danse hip hop multi-disciplines. Cette année, les organisateurs affichent deux objectifs affirmés : mettre en avant l’art hip hop et les cultures urbaines en valorisant la France au niveau mondial, et faire rayonner la région parisienne à travers un événement fédérateur. Pour ce faire, la 11ème édition met la barre toujours plus haut et pourra compter sur un jury de pros et un parrain de poids, Paul Pogba, prodige du ballon rond et passionné par la culture hip hop.
Concept du Battle Cercle Underground
Chaque équipe s’affronte par discipline (house, pop, hip-hop et break) au milieu d’un cercle constitué par les autres danseurs. Les meilleurs passages dansés sont sélectionnés pour passer au niveau supérieur. Chaque équipe porte un tee-shirt représentant sa « couleur », le nom de son équipe et le nom du danseur. En perdant les danseurs doivent remettre leur tee shirt aux vainqueurs. Le fait de céder ainsi son tee shirt équivaut symboliquement à admettre la supériorité de son adversaire. Dans une culture où « l’honneur » et la réputation revêtent une importance primordiale, la symbolique du t-shirt, qui devient un enjeu et un trophée de « guerre », est extrêmement importante pour les protagonistes et leur « crew ». À la fin du Battle, les jurys sélectionnent les quatre équipes gagnantes (une par catégorie).
A propos des organisateurs
Hagson – Njagui aka Hagson, originaire de Marne la Vallée, fait partie des membres fondateurs du fameux groupe Wanted Posse depuis 1993. Dans son parcours de danseur et chorégraphe (notamment pour Les Folies Bergères), il remporte de nombreuses compétitions et le titre de champion du monde au Boty en 2001. D’abord danseur hype, puis breaker, il s’est spécialisé dans la house dance. Aujourd’hui, manager de la compagnie Wanted posse, Hagson se tourne vers une carrière de producteur dans l’évènementiel et développe des projets autour de la danse, notamment via le Cercle Underground. Producteur et organisateur du Battle, il est suivi depuis 4 ans par la marque Red Bull pour cet événement incontournable du Hip-Hop français. Muse Artistic Agence – Installée à la Cité du Cinéma, Muse Artistic Agency est une agence artistique événementielle spécialisée dans la promotion des danses urbaines et actuelles. En mettant à profit une solide expérience de vingt ans, l’agence Muse s’attache à faire vivre et promouvoir l’émotion d’un art en perpétuel mouvement (films publicitaires, salons événementiels, streets shows, spectacles, émissions de télévision, événements de marque). Source : Cercle Underground
Les deux représentants de la “street dance” les plus sérieux et souverains en la matière seront à Meudon (Hauts-de-Seine) du 19 au 25 octobre 2015.
Ils se sont croisés au Festival de Cannes en 1984 lors de la promotion des films cultes Beat Street et Break Street 84 (dans lesquelles ils tiennent les rôles principaux) mais n’ont jamais participé ensemble à un événement. Le plus grand danseur de rue de tous les temps : Shabba-Doo (Original Soul train Gang / Original Lockers / Break Street 84), surnommé “le Bob Fosse des rues” par Madonna, et le plus grand b.boy de tous les temps : Crazy Legs (Président du Rock Steady Crew, Bronx New York / Wild Style / Style Wars / Beat Street) sont enfin réunis par le Funktherapy Unity Tour 2015. Les deux représentants de la “street dance” les plus sérieux et souverains en la matière seront à Meudon (Hauts-de-Seine) du 19 au 25 octobre 2015. Par le caractère unique de cette rencontre, le contenu qualitatif de l’événement et au regard du parcours exceptionnel de ces invités, les bénéfices attendus de cette nouvelle édition de Funktherapy, baptisé “Unity Tour”, sont multiples. Si ces deux artistes légendaires ont déjà parcouru plusieurs fois le tour de la planète au cours de ces 30 dernières années, c’est parce qu’ils sont les deux plus importantes figures de l’histoire des “street dance” : aussi bien pour les danseurs / hip hopeurs dans le monde que pour les médias et les institutions culturelles. Depuis l’époque durant laquelle ils ont contribué à la faire sortir du ghetto, tous les deux ont à cœur d’œuvrer pour le développement et la pérennisation d’une culture aujourd’hui mondialement reconnue, et ce dans la droite lignée et volonté artistique de Funktherapy : faire vivre une culture « street dance » authentique en partageant avec les pionniers légendaires pour une meilleure transmission.
A propos de Funtherapy
Depuis 2002, Funktherapy a été le premier évènement culturel européen à avoir mis en avant l’histoire de la culture hip hop / street dance dans le respect de ses racines et ses fondements historiques. Funktherapy est né de ces trois exigences : authenticité, transmission et pérennisation. Depuis 13 ans, son représentant, Ahmed Agouni, invite les artistes danseurs chorégraphes, fondateurs et pionniers américains du campbellocking (locking), funk boogaloo, wacking, shway, robotting, electric boogaloo, popping, rocking, b.boying ou encore electric boogie.A propos de Shabba-Doo
Adolfo «Shabba-doo» Quinones débute sa carrière de danseur dans l’émission mythique Soul Train en 1970 à Chicago puis à Los Angeles en y rejoignant le Soul Train Gang (danseurs de l’émission). Il intègre le groupe des Lockers en 1973, avec lequel il écume les plateaux de télé de divertissement américain les plus importants de l’époque (Saturday Night Show / Ed Sullivan / ABC TV Shows / American Grammy Awards…). En 1977, il intègre le Dancing Machine Production, puis c’est l’apogée avec la présentation du Big Show et ses chorégraphies dépoussiérantes. En 1983, il est le chorégraphe pour plusieurs artistes, notamment Lionel Richie et Chaka Khan, mais également pour le cinéma (Breakin’ & Enterin’). Il devient dans la foulée star du film évènement Breakin’ 1 et 2 (nommé Break Street 84 en France). Il côtoie durant toutes ces années plusieurs artistes reconnus pour leurs talents de danseurs comme la star international Michaël Jackson. Jusqu’à aujourd’hui, Shabba-Doo n’aura cessé d’œuvrer pour le développement et la pérennisation de la street dance.A propos de Crazy Legs
Richard «Crazy Legs» Colon débute sa carrière de danseur en 1977 dans le ghetto du Bronx, quartier alors terriblement délabré de New York. C’est en y observant la culture folklorique (soul / funk / boogaloo / merengue / salsa…) qui caractérise son quartier, qu’il découvre le “b.boying”. En 1978, il devient membre du groupe mythique new yorkais : Rock Steady Crew. Fort de son activisme, Crazy Legs se voit remettre le titre prestigieux de Président du RSC en 1981. En 1982, il écume les clubs de New York, y côtoyant des artistes tels que Jean Michel Basquiat, Keith Harring, Andy Warhol, Madonna… A la fin de cette même année, il débarque à Paris pour un événement majeur qui posera les bases du hip hop en France : la tournée New York City Rap (voir notre dossier consacré au sujet ici). La culture du ghetto new yorkais rejoint directement la France en 1982, et une fois de plus, c’est Paris qui en décroche l’exclusivité !
Busta Flex, Swift Guad ou encore Kohndo autour de Dandyguel pour son concert événement du 7 mars 2015 à Paris + demi-finale EOW France
C’est une soirée qui ne manquera pas de kickeurs « croustillants » : Busta Flex, Kohndo ou encore Swift Guad seront réunis sur la même scène parisienne du « Petit Bain » le 7 mars autour de Dandyguel pour une grosse douche hip hop. Défendant les couleurs de son nouveau projet « Ça Graille » (EP 9 titres, sorti le 19 janvier dernier) et après s’être fait remarquer dans de nombreuses battle (dont la finale 2012 du EOW France à l’issue de laquelle il décrochera son titre de champion), Dandyguel n’aura aucune difficulté à chauffer le « Petit Bain » au point de le transformer en un véritable hammam. Cet événement présenté par End of the Weak et LR Production abritera également en première partie la demi-finale de la compétition EOW France (avec Artik, Mic Orni et DJ Keri au contrôle). N’oubliez pas vos serviettes. Nobel
Pour célébrer le 20ème anniversaire de l’album de La Cliqua, Kohndo, Rocca et Daddy Lord C se retrouveront sur scène le 27 février à Bobigny.
Il est celui qui donnera son accord en premier pour un retour de La Cliqua sur scène (festival L’Original en 2008). Il est pourtant le premier à avoir quitté la formation historique du groupe en 1997. Kohndo nous avait confié quelques détails sur cette période : « Je sentais que ça se dégradait. (…) Rocca et Daddy lord C ont joué la carte de la colère avec leur morceau « Pas de place pour les traîtres ». (…) On en a reparlé dix ans après, tout a été réglé comme des adultes » (voir son interview exclusive). C’est maintenant à l’occasion du 20ème anniversaire de l’album « Conçu pour durer » que Kohndo, Rocca et Clarck se retrouveront sur la scène du Canal 93 (Bobigny) le 27 février 2015 lors du festival Terre(s) hip hop. Plus de 20 ans après sa création, La Cliqua demeure toujours un groupe incontournable dans l’histoire du rap français, au même titre qu’il demeure incontournable dans la carrière des ces trois MC’s. A noter également la réédition en vinyl du premier album de Kohndo « Tout est écrit » incluant « Classic » en featuring avec Rocca. Si l’on se réfère aux précédentes « reformations » de La Cliqua (Lyon 2008 & Paris 2009), inutile de préciser que ce show fera date pour tous les amateurs de « bon rap ». Nobel
Vendredi 27 février 2015 à partir de 19 heures 30
Canal 93 – 63 avenue Jean Jaurès – 93000 Bobigny
Rocca (1996) – Photo © Alain Garnier
Battle international le 14 mars 2015 à Copenhague. Au programme : 3vs3 crew battle, 2vs2 toprock battle et 1vs1 kids battle
Direction Copenhague (Danemark) pour l’édition 2015 du battle international Floor Wars organisé par Breakpoint. On y retrouvera le crew français Total Feeling parmi les 8 équipes présentes dont Legacy (Espagne), Seven Commandoz (Corée), Illusion of Exist (Russie), Funk Fockers (Brésil) et De Klan (Italie). Les affrontements jusqu’à la grande finale seront contrôlés par les DJ’s Uragun (Italie), Kid Cut (Allemagne) et Shubin (Russie). Au programme : 3vs3 crew battle, 2vs2 toprock battle et 1vs1 kids battle. Le 14 mars 2015, début des hostilités à 17 heures ! Actualisation du 15 mars 2015 / Vainqueurs de l’édition 2015 : 7 Commandoz (3vs3 crew battle), Bgirl Candy & Victor Jay (2vs2 toprock battle) et Bboy Fresh (1vs1 kids battle).
De Carlotta à Karima Khelifi, d’Auriane à Valentine, le documentaire « BGirls », diffusée ce vendredi 17 octobre (France O à 22 heures 10, 52 mn) et projetée à Saint-Ouen (avec rencontre de l’équipe du film) le 6 novembre 2014, trace quatre portraits filés de quatre danseuses et chorégraphes majeures du hip-hop au féminin.
A travers leurs histoires et itinéraires de vie, des battles de rue aux scènes contemporaines, se dessine tout le cercle des enjeux sociologique, esthétique et politique de la présence des femmes dans le hip-hop : la révolution des codes chorégraphiques, l’affirmation du corps féminin, le combat contre les préjugés… Réalisée par Nadja Harek, « B Girls » est le premier documentaire sur la breakdance vue, vécue, racontée et dansée par les femmes.
A ne pas manquer ce vendredi 17 octobre 2014 à 22 heures 10 sur France O
et au Pôle cinématographique et audiovisuel Commune Image de Saint-Ouen le 6 novembre 2014 à 18 heures
(cocktail, rencontre avec l’équipe du film et projection).
Auriane, Carlota et Karima – Photos D.R.
Au Cercle Underground, peu importe le nom, le pays, la réputation ou le palmarès, tout ça reste à l’entrée de la salle.
Hagson (Wanted Posse) présente le battle Cercle Underground : « Notre devise : chaque battle est une finale !
Notre mission : promouvoir l’esprit originel du hip-hop et du battle.
(…) Au Cercle Underground, un battle, ça n’est pas un échange, c’est une « guerre » artistique.
Au Cercle Underground, peu importe le nom, le pays, la réputation ou le palmarès, tout ça reste à l’entrée de la salle. Seuls comptent la qualité du danseur le jour J, le courage et la prise de risque. Au Cercle Underground : chaque battle est une finale et la seule vérité est celle qui sort du cercle ! ».
Le battle Cercle Underground, fondé en 2010, rassemble depuis plusieurs années les meilleurs danseurs internationaux de break, hip hop, house et poppin. Sont invités à entrer dans Le Cercle des danseurs sélectionnés et choisis sur leur niveau, leur actualité mais aussi leur détermination. Ces critères d’exigence ont fait du Battle Cercle Underground LE battle français de danse hip-hop multi-disciplines.
Le Battle « Suprême » Cercle Underground, qui se déroulera samedi 1er novembre 2014, marque le grand retour dans la compétition des vainqueurs des 4 dernières éditions. Ceux ne sont pas moins de 16 équipes, dont Infamous, Subskillz, Wanted Posse et Legiteam Obstruxion, représentants 6 nationalités qui vont s’affronter pour désigner le champion des champions. Ce battle se distingue par un jury constitué de danseurs professionnels experts dans leur discipline : Junior, Shan S, Tip-Top et Smiley. Full support pour cet événement dont le mental et le parcours de l’organisateur, Hagson, nous garantit d’ores et déjà de grosses vibrations !
Battle Suprême Cercle Underground
Samedi 1er novembre 2014 – A partir de 13 heures 30
Académie Fratellini – 1/9 rue des Cheminots – 93210 La Plaine Saint-Denis
Programme et information : www.cercleunderground.com
Hagson (Wanted Posse) – Photo © Damien Carduner
L’exposition est l’occasion de voir comment et dans quel contexte sont apparues ces formes et ces esthétiques dites urbaines, mais aussi d’en reconstituer ce que furent les gestes essentiels de ses acteurs.
Après la récente réédition par LO/A Édition, du livre « Mouvement. Du terrain vague au dancefloor », en accord avec les auteurs du livre, la Galerie Célal et Fabien Hulin ont décidé de consacrer une exposition mettant en scène la naissance du graffiti et du rap français, à Paris au début des années 1980.
Une collection et un livre, fondamentaux pour comprendre et voir la naissance d’une révolution esthétique comprenant musique, danse, mode et arts visuels, qui a marqué toute l’évolution des « esthétiques urbaines » jusqu’à nos jours.
La particularité et l’exceptionnalité du fonds réalisé par Yoshi Omori provient du fait qu’il fut, peut-être sans le savoir au début, the right man at the right place : emporté par le mouvement de naissance du « Graff », travaillant sur ce qu’il voit au terrain vague de Stalingrad, cette vague qu’il voit se déployer sous ses yeux, il a produit ainsi une archive exceptionnelle, document tout à la fois esthétique, social et culturel.
Yoshi Omori a capté par sa présence opportune le moment de gestation de ce qui deviendra la scène rap parisienne, et portraituré in vivo ceux qui feront et inventeront le graffiti français (sur de nombreux clichés, on peut ainsi reconnaître des « personnalités » aujourd’hui célèbres). Le point nodal de ces rencontres est, on l’a dit, le terrain vague de Stalingrad, à Paris. C’est là qu’il réussit à croiser la plupart des jeunes pas-encore-artistes mais aussi l’ambiance des premières soirées hip-hop, les séances clandestines de ‘graf’, l’univers quotidien d’un quartier populaire en changement, le portrait de cette jeunesse inspirée par une forme d’art, un mode de vie et la révolte issues des ghettos noirs américains.
Une opportunité de revenir sur ce que fut la naissance de la forme d’art centrale de notre époque pour le cas français. L’exposition est l’occasion de voir comment et dans quel contexte sont apparues ces formes et ces esthétiques dites urbaines, mais aussi d’en reconstituer ce que furent les gestes essentiels de ses acteurs. En même temps, ceux qui apparaissent en première ligne, photographiés par Yoshi Omori, sont aussi ceux dont on peut suivre la trace à travers leur production contemporaine. C’est pourquoi le pari de la Galerie Celal a tenu, sur la proposition de Fabien Hulin, à montrer et exposer l’œuvre de ces artistes pour illustrer d’une part la fluidité de ces parcours artistiques, mais aussi la continuité et la fidélité au moment fondateur.
L’exposition s’articule ainsi autour de différents parcours, s’appuyant sur le fond Omori d’une part, mais aussi sur des objets-archives et la production contemporaine de certains de ces artistes : Ash, James TCG, Bando, Meo, Psyckoze, Skki, JayOne, Shoe, Dark, Faz, Mode2, Moze, Darco, Sidney. Fabien Hulin (commissaire d’exposition)
Pro176 et Cope2 vont à nouveau croiser le fer. Portés ensemble dans la lumière des cimaises de l’illustre galerie phocéenne d’art contemporain, les deux figures internationales tiennent cette année l’affiche de « Powers of Abstraction ».
Ils s’étaient déjà rencontrés dans les années 1990 au cœur du Bronx… A l’époque, le jeune graffeur PR0176 s’était aventuré à Kingsbridge, New York, à la rencontre d’une légende du mouvement américain : Femando Carlo aka COPE2. Près de deux décennies plus tard, le rookie français s’est installé comme une référence du post-graffiti européen, sous le patronage – entre autres – de SEEN qui l’a pris sous son aile à Valencia, Espagne. COPE2, lui, a continué de marquer la Grosse Pomme au fer rouge. Projets d’éditions, documentaires, biographies… Sa légende s’est considérablement étendue. Des dix Kings mondiaux encore en activité, COPE figure en tête de liste. Un leg créatif qui n’en finit pas d’influencer les jeunes générations. A la demande du curateur David Pluskwa, PRO et COPE vont à nouveau croiser le fer. Portés ensemble dans la lumière des cimaises de l’illustre galerie phocéenne d’art contemporain, les deux figures internationales tiennent cette année l’affiche de « Powers of Abstraction » : une exposition en duo, inédite, dans laquelle toiles et supports exclusifs vont faire résonner poussées abstraites, choc des couleurs et pure énergie de la rue. Théophile Pillault