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2015 : Ressortez les ballons sauteurs !

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Akhenaton, IAM, Shurik'n

Au lieu d’une définition incohérente de « l’underground » dans leur morceau, nous nous attendions plutôt à une explication de leur attitude à la télé. (DWT n° 4, 1994)

En 1994, deux articles publiés dans nos colonnes (DWT n°4, édition papier) ont été l’objet d’une discorde entre Akhenaton et nous. Nous avions à l’époque pris position contre ce qui nous semblait être accablant : leur attitude sur certains plateaux de télé. Aujourd’hui, on a plutôt envie de saluer leur parcours. D’ailleurs, entre un ballon-sauteur et un kalach, on a une certaine nostalgie…

Introduction (extrait) de notre première interview d’Akhenaton (DWT édition papier, numéro 4, 1994)
« (…) Le retour d’IAM s’est fait discrètement pour le grand public mais attendu par les initiés. Après le maxi Donne-moi le micro et le double album Ombre est lumière, qui contenait une large étendue des morceaux de leur palette, les 6 membres du groupe se retrouvent dans le milieu de la variété un peu de temps après avoir remixé le morceau Je danse le mia. Un enchaînement de passage télé impressionnant et une programmation abusive du Mia les fait découvrir au grand public. Mais quand un groupe entre dans le show-biz, son attitude doit coller aux ventes. C’est pour cette raison que l’on pourra voir Chill (a.k.a. Akhenaton, a.k.a. Phil, a.k.a. Abdel Hakim) considérer cette grosse merde de Laurent Boyer comme son copain ou voir IAM entrer dans le jeu de l’émission de ce trou du cul de Dechavanne en faisant du ballon-sauteur sans contester et en se faisant peloter par Patrice Carmouze. Ce qui reste incontestable, c’est que malgré une attitude qui les classe dans les circuits de la variété, ce groupe est professionnel et très carré. Pour ce qui est de son succès, nous préférons tout de même allumer la télé et les voir faire de meilleures ventes que des bouffons comme Bruel ou East17″. Nobel

Chronique (extrait) du maxi d’IAM « Le feu » – Delabel, 1994 (DWT édition papier, numéro 4, 1994)
« (…) Si IAM croit vraiment que « l’underground » est comme ils le disent dans leur chanson (Reste Underground, 1994), ils nous prouvent qu’ils sont à l’ouest à propos de ce milieu. Exemple : IAM dit que les bboys prennent « l’underground » comme prétexte pour pouvoir critiquer. Mais critiquer quoi ? « Les ventes du Mia » disent-ils. Ils n’ont pas l’air d’avoir saisi le seul véritable reproche que « l’underground » leur fait : celui de rentrer dans le circuit de la variété en adoptant une attitude commerciale dans des émissions telles que Fréquence Star ou Coucou c’est Nous. « L’underground » ne critique pas les ventes du Mia car il y a enfin du rap à la place de la soupe habituelle (ce qui permet également à un groupe de vivre de sa musique). Mais attention aux contradictions trop nombreuses. On peut entendre dans le titre Contrat de conscience que le « le temps des marseillais rigolos est révolu ». Dans ce cas, pourquoi lorsque l’on prête attention aux réactions des gens après leur passage chez Dechavanne, la remarque principale est « qu’ils sont bien rigolos ces rappeurs ». « L’underground » est bénéfique pour la progression du hip hop en France. Il ne faut pas descendre un milieu qui est le point de départ d’une carrière musicale. « L’underground » ne touche pas que 2 ou 3 mecs d’un quartier, comme ils le disent. Eux-mêmes devraient savoir que c’est « l’underground » qui les a fait connaître, en faisant circuler leur cassette « Concept » en 1989. Au lieu d’une définition incohérente de « l’underground » dans leur morceau, nous nous attendions plutôt à une explication de leur attitude à la télé ». Nobel et Lavokato

Découvrez
notre
interview
d’Akhenaton
de
1994
et
celle
réalisée
en
2014

AKhenaton IAM - Photo Aurore Vinot - Reste underground - DWT Magazine - Down With This

Photo © Aurore Vinot

Interview Akhenaton IAM (1994)

Documents
Akhenaton, IAM

On a niqué les bénéfices de la dance et c’est ça qui est important. Je préfère voir nous ou un autre groupe de rap à cette place plutôt qu’un groupe de techno.

Down With This : Comment vois-tu ton évolution depuis tes débuts en featuring sur le titre « This is the B side » des rappeurs américains Choice MC’s en 1988 ?
Akhenaton : Je n’ai pas de recul sur ce qu’on fait. J’ai du mal à réécouter ce qu’on a fait avant. Je suis un insatisfait permanent. D’ailleurs, ils se moquent de moi dans l’album : « cet échantillon est bon mais pas assez pour Chill… » ! Si tu me laisses un morceau entre les mains 3 mois, je te change 5 ou 6 fois l’échantillon. Et j’ai retrouvé cette similitude chez l’une des mes idoles, Nasty Nas, qui est aussi un persécuté des samples.

DWT : Est-ce que vous pensiez que le Mia était un morceau valable pour en faire un tube ?
Akhenaton : Au début, on ne savait pas, on n’a rien calculé. Ce morceau est vieux, il a deux ans et demi. Et quand on l’a sorti, on ne pensait pas qu’il allait avoir un tel effet. Ce morceau nous tenait à cœur. On est d’une génération funk. J’ai 25 ans et quand j’étais petit, c’était les soirées funk. C’est un peu un tribut pour les gens de mon quartier et de ma génération.

DWT : Dans votre premier album, « De la planète Mars », le DJ du « New star flash laser light action Club » se fait fusiller, mais pas dans « Je danse le mia ». Comment expliques-tu cette tolérance ?
Akhenaton : Parce que c’est un morceau qui n’est pas axé que sur ça. Dans le concept du Mia, il y a de bons et de mauvais côtés. Il y a des Mia qui sont positifs et d’autres qui sont nocifs. Les nocifs, ce sont les beaufs. Ils ont écouté de la funk et malgré ça, ils sont tout de même racistes.

L’argent circule maintenant dans le cercle rap. Malgré ce que des personnes peuvent dire, c’est de l’argent qui va au rap, c’est de l’argent qui va à notre studio, pour monter notre structure, pour aider le Soul Swing, Uptown, des groupes de Marseille, Paris, Reims, Tours, etc…

DWT : Ca vous fait quoi de vous retrouver 1er sur un classement français où il y a habituellement de la dance ?
Akhenaton : On a niqué les bénéfices de la dance et c’est ça qui est important. Je préfère voir nous ou un autre groupe de rap à cette place plutôt qu’un groupe de techno. L’argent circule maintenant dans le cercle rap. Malgré ce que des personnes peuvent dire, c’est de l’argent qui va au rap, c’est de l’argent qui va à notre studio, pour monter notre structure, pour aider le Soul Swing, Uptown, des groupes de Marseille, Paris, Reims, Tours, etc…

DWT : Avez-vous rencontré des problèmes de droits et d’argent avec le sample de Benson pour pouvoir composer « Je danse le mia » ?
Akhenaton : On a payé. Ils nous ont quand même fait chier, c’est des sacrés casse-couilles. Moi, je suis d’accord pour payer un sample, parce que j’ai du respect. Mais le mec nous a dit après coup : «  si l’album d’IAM vend se vend (450 000 exemplaires), c’est parce qu’il y a le sample de George Benson dans le Mia » ! Le mec abuse parce que l’album s’est autant vendu les 6 mois qui ont précédé la sortie du single du Mia qu’après sa sortie. Je n’aime pas l’abus, ça m’énerve. Et en plus, ils ressortent « Give me the night » dans la foulée…

DWT : Avez-vous une idée du prochain maxi extrait de l’album ?
Akhenaton : Sûrement « Ce soir, on vous le met le feu », mais remixé violemment. Si vraiment on voulait faire des thunes, on calculerait des morceaux exprès, on sortirait d’autres maxis, genre « Le repos, c’est la santé ». Si on l’a fait, c’est que ça nous plaît. On choisit quand même de faire des morceaux qui nous plaisent un maximum. Moi, « Ce soir, on vous met le feu », ce genre de morceau avec des sonorités orientales, je me régale. Mais je veux changer les paroles parce qu’elles ne me plaisent pas, elles sont creuses.

 

Je peux t’écrire un morceau en deux heures, terminé et je n’y toucherai plus jamais. Et je peux en écrire un autre, le recommencer 10 fois ou l’écrire sur une période d’un an.

DWT : Tu écris des paroles en trouvant plus tard qu’elles sont creuses… Serait-ce un manque de travail ?
Akhenaton : Je me gonfle vite des morceaux. Deux semaines après, ils me gonflent. Je peux t’écrire un morceau en deux heures, terminé et je n’y toucherai plus jamais. Et je peux en écrire un autre, le recommencer 10 fois ou l’écrire sur une période d’un an. C’est en fonction du texte et des idées que j’ai.

DWT : Peux-tu nous citer tes principales influences du moment ?
Akhenaton : Eric B & Rakim, Cool G. Rap, Lord Finest. En ce moment, j’écoute Nasty Nas. L’album est en rotation dans mon walk-man.

DWT : Dans le titre « L’aimant », tu retraces le parcours d’un gars ayant plongé à perpétuité. On se doute qu’il ne s’agit pas de ton parcours mais tu rappes pourtant à la première personne…
Akhenaton : C’est 100 % histoire vraie. Même si ce n’est pas que mon histoire, c’est l’histoire de mes amis et moi, malheureusement. En fait, c’est mon ami Dario qui a plongé. A 17 ans, je marchais avec lui. Il a commencé à racketter des patrons de bars. Le jour où il a eu des problèmes, il est tombé. C’est un mec qui n’a pas eu de jeunesse, il ne faisait que rentrer et sortir. Un jour, il m’a dit : « Je vais arrêter les conneries et je vais me consacrer à ma fille ». Trois mois après, il a eu une embrouille avec un mec et il l’a buté. Ils lui ont mis perpétuité. C’était un mec cool, super sympa.

DWT : Pour en revenir à votre carrière, maintenant que vous avez monté votre propre label, allez-vous quitter Delabel et opter pour l’autoproduction ?
Akhenaton : On a un contrat avec Delabel pour un bon moment. Pour l’instant, on va surtout produire les groupes qui travaillent avec nous. Ce ne sont pas que des groupes de Marseille. Il n’y a pas de régionalisme.

Si tu savais comment le langage a changé envers nous. Il y a des mecs qui nous respectent énormément maintenant parce qu’on est devenu un poids financier.

DWT : A ce propos, avez-vous de bons rapports avec les autres rappeurs français ?
Akhenaton : Ca dépend. Avec NTM, on n’a pas de vrais rapports. J’ai toujours respecté la démarche artistique des NTM. Moi, je suis bien ami avec Yazeed, bon il est plus avec eux, c’est la vie. Mais Joey et Shen sont des gens qui sont beaucoup moins cons que les gens le laissent entendre. Mais je suis sûr qu’ils vont revenir dans la course maintenant. Ils avaient des problèmes avec les flics, c’est aussi la preuve que l’Etat français est un bon Etat policier. Si tu savais comment le langage a changé envers nous. Il y a des mecs qui nous respectent énormément maintenant parce qu’on est devenu un poids financier. Même si nous, dans le groupe, on ne le ressent pas en tant que tel.

Carte blanche à Hélène Tilman

Carte Blanche
Akhenaton, IAM

C’est un travail que j’ai commencé il y a plusieurs années. 
Je voulais constituer une galerie de portraits des artistes hip hop qui m’avaient le plus marquée. Une sorte d’hommage en images et en son, une bande sonore a été réalisée pour l’expo, par Also Prodby et moi même.
La plupart des gens que j’ai contacté ont tout de suite adhéré au projet. Ensuite, les rendez-vous pour la prise de vue, c’est une autre histoire, ceux qui travaillent dans le milieu savent de quoi je veux parler !
J’avais Cassidy des X Men, Nakk, Specta du Saïan, Casey, Doudou Masta, Les Sages Po, Demi Portion, Médine, Princess Anies, des noms importants pour moi, des gens que j’ai écouté, ré-écouté, et que j’écoute encore. 
Je voyais l’ensemble se dessiner et je me disais «Akhenaton, j’ai rien, aucune connexion, j’envoie des mails à des gens que je ne connais pas, qui ne me répondent pas, je ne vais pas y arriver». 
AKH c’est immense, un des piliers du rap français. 
Je crois que Sol Invictus est un des albums que j’ai le plus écouté de ma vie. «Quand ça se disperse», «Horizon vertical», «Le fiston», des titres inoubliables…
Bref, trois ans après avoir commencé la série, Demi Portion me donne le coup de pouce qu’il me manquait. Et j’ai fait ce portrait.
Chaque photo de cette série est une vraie rencontre, chaque portrait traduit une émotion. 
J’ai eu cette rencontre avec AKH. J’ai vu la bienveillance et l’intelligence de son regard à travers mon objectif. Hélène Tilman

Retrouvez le travail de la photographe Hélène Tilman sur helenetilman.com

Alain Garnier : exposition de son Arsenal

Agenda
Alain Garnier, DJ Crazy B, Down With This, IAM, Jamalsky, Kéry James, raggasonic

Le photographe Alain Garnier se retrouve pris dans la mêlée d’un mouvement qui s’enracine en France et prend alors en photo les premiers concerts de rappeurs de cette scène naissante : Suprême NTM, IAM, Assassin, Little MC’s, Kery James, Soul Swing & Radical mais aussi reggae (Saï Saï, Tonton David, Raggasonic…).

Interpellé en 1987 à Paris par les couleurs du terrain vague de Stalingrad / La Chapelle, Alain Garnier y capture alors ses premiers tags et graffs, réalisés par des artistes aujourd’hui mythiques : Bando, Lokiss, les BBC, et d’autres qui se feront remarquer plus tard dans la musique comme un certain Joe (alias Joey Starr, futur co-fondateur du groupe NTM). Au fil des mois, le photographe Alain Garnier se retrouve pris dans la mêlée d’un mouvement qui s’enracine en France et prend alors en photo les premiers concerts de rappeurs de cette scène naissante : Suprême NTM, IAM, Assassin, Little MC’s, Soul Swing & Radical mais aussi reggae (dont les Saï Saï, Tonton David, Raggasonic).
Sa proximité avec certains acteurs de cette culture lui permettra de capter de manière naturelle ces instants de vie aussi bien au micro que dans l’intimité des coulisses. Et c’est de manière évidente qu’on lui proposera de signer en 1990 toutes les photos intérieures de Rapattitude (à l’exception d’Assassin par Maï Lucas), la célèbre et « sulfureuse » première compilation de rap français. Il comprend alors que l’histoire du milieu hip hop français est en train de s’écrire sous ses yeux et il décide d’y participer jusqu’à la fin des années 1990, notamment au sein du journal Get Busy puis en rejoignant l’équipe du journal Down With This à partir de 1994 jusqu’à maintenant.
Il s’envole en 1992 aux Etats-Unis pour poursuivre son travail auprès des artistes emblématiques de l’époque : Ice Cube, Public Enemy, KRS One, Gangstarr… Il suivra également la nouvelle scène française jusqu’à lors inconnue : Kéry James, La Cliqua, Sages Poètes de la Rue, Fabe, Koma, 2Bal 2Neg, MR R., Expression Direkt, L.I.M., La Caution, Lindis ou encore Psy4 de la Rime durant la période que les connaisseurs s’accordent à définir comme “l’âge d’or” du rap français. Il réussit durant ce laps de temps de plus de 10 ans (1987-2000) à constituer une abondante et inédite collection sur l’histoire de ce mouvement.
En ne répondant jamais à des volontés économiques ou de paraître, Alain Garnier poursuivra son travail sans relâche, fidèle à ses valeurs. C’est ce qui lui vaudra la prouesse de constituer un véritable « trésor argentique ». Il est certainement le seul photographe à s’être intéressé à cette culture aussi longtemps et aussi tôt.

Sa volonté de départ était donc la bonne : suivre le hip hop à ses débuts en France, ce qui lui a permis d’en conserver la mémoire. Son travail se révèle être aujourd’hui d’un intérêt manifeste. C’est maintenant de manière exceptionnelle qu’il en dévoile une précieuse partie, du 4 mai au 16 juin 2013, à l’Arsenal de Metz dans le cadre du festival de renom «East Block Party» en partenariat avec l’association Boom Bap (big up à Myriama et son équipe). A noter également que l’exposition présentera des œuvres de Maï Lucas customisées par Jonone et des portraits récents réalisés par Hélène Tilman. Nobel
Retrouvez la carte blanche à Alain Garnier ici

Exposition Alain Garnier, Maï Lucas & Hélène Tilman
Du 4 mai au 16 juin 2013 (vernissage mercredi 22 mai 2013 à partir de 18 heures 30 en présence des artistes)
Ouverture du mardi au dimanche de 14 heures à 19 heures
Arsenal – Metz en Scènes
3, avenue Ney – 57 000 Metz
Infos pratiques en ligne ici (site de l’Arsenal)

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